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Les mutations nécessaires du secteur agricole

«Fluctuat nec mergitur» («Elle tangue mais ne coule pas»). La filière agricole aurait pu adopter la devise de Paris pour son grand salon annuel qui s’est tenu du 22 février au 1er mars. Pris par les évolutions des métiers, les enjeux environnementaux, la réforme de la PAC ou le Brexit, ce grand rendez-vous reste incontournable pour tous ceux ce qui touchent à l’agriculture ou que l’agriculture touche !

Le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, lors de l’ouverture du Salon international de l’agriculture. © Agnès Guillaumin
Le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, lors de l’ouverture du Salon international de l’agriculture. © Agnès Guillaumin

Les chiffres du Salon international de l’agriculture 2020, porte de Versailles à Paris, parlent d’eux-mêmes : 1 000 exposants issus de 20 pays, dont 1 535 éleveurs et 3 000 animaux de concours répartis en 392 races, sans  compter les filières végétales, les produits des régions et du monde, dont 15 850 vins et 6 630 produits qui sont dégustés. Le concours général agricole, qui concerne les animaux...

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La Gazette Nord-Pas de Calais

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