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Jean-Baptiste Eyméoud, président d’Alstom France, à Crespin

Pour quelques mois encore, le nom Bombardier surplombe le site ferroviaire de Crespin, dans le Valenciennois. Depuis le 29 janvier, il faut pourtant l’appeler Alstom. Jean-Baptiste Eyméoud, président d’Alstom France, est venu à la rencontre des équipes de sa nouvelle filiale.

Au centre Henri Poupart-Lafarge, président du groupe Alstom et Jean-Baptiste Eyméoud, président d'Alstom France (à droite) devant les lignes de production du Francilien, à Crespin. © Samuel Dhote
Au centre Henri Poupart-Lafarge, président du groupe Alstom et Jean-Baptiste Eyméoud, président d'Alstom France (à droite) devant les lignes de production du Francilien, à Crespin. © Samuel Dhote

Rien ne semble avoir changé. Les salariés d’ex-Bombardier continuent de venir travailler aux mêmes horaires, construisent les mêmes trains, se posent les mêmes questions quant au maintien de leur emploi, de leurs acquis sociaux et de leurs conditions de travail. «Nous travaillons sur une intégration que nous voulons rapide et bienveillante», rassure Jean-Baptiste Eyméoud, ancien président de Bomba...

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La Gazette Nord-Pas de Calais

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